Jean-Marc Paubel
Les contes merveilleux
Après trois années d'exploration du cycle "Un voyage d'hiver", j'aborde depuis fin 2020 une nouvelle inspiration, dans une certaine continuité mais dans un esprit plus aérien.
"Les contes merveilleux" - triptyque des kamis (panneau de droite "Les kamis des sous-bois", panneau de gauche "Les kamis des eaux", panneau central "Les kamis des frondaisons") dessin, pierre noire et lavis d'oxydes - 200x150 - 2020/2021
Les contes merveilleux, dessins et lavis de moyen format
dessin pierre noire et lavis d'oxydes - Arches 300 gr - 31x41- févfrier 2021
dessin pierre noire et lavis d'oxydes - Arches 300 gr - 31x41- févfrier 2021
dessin pierre noire et lavis d'oxydes - Arches 300 gr - 31x41- févfrier 2021
dessin pierre noire et lavis d'oxydes - Arches 300 gr - 31x41- févfrier 2021
Un voyage d'hiver
"L’acte de dessin renvoie au voyage intérieur, au « wandern » et à la conquête des paysages intérieurs, du regard intérieur. L’acte de dessin est une allégeance à notre passé d’homme, le geste ancestral qui nous relie à nous-mêmes, à l’enfance de nos émotions et au plus fort de la nature. Le dessin de grand format a fait ressurgir en moi des métamorphoses de pierres, des résurgences et des concrétions de corps oubliés dans le creux des collines, comme un panthéisme topographique."
"Un voyage d'hiver" - dessin, pierre noire et lavis d'oxydes - 100x100 - 2019
Dessins 2019
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2019
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2019
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2019
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2019
"Un voyage d'hiver" - dessins, pierre noire et lavis d'oxydes - moyen format - 2019
Dessins 2018
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2018
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2018
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2018
Dessin, pierre noire et lavis d'oxydes 2018
"Un voyage d'hiver" - dessins, pierre noire et lavis d'oxydes - moyen format - 2018
Je peux affirmer que face à ces dessins, le sujet s'estompe, devient le lieu du signe et de la trace. Le trait se fait témoin, le noir, présence.
L'immense lit de drap blanc peuplé de silences et de non-dits laisse entendre la symphonie d'une humanité lointaine et pourtant présente. Le format, grand, épouse le corps du dessinateur, l'absorbe aussi pour ne garder que son ombre, ultime témoignage de sa présence déjà passée.
Daniel Airam